Les nanocombustibles : un futur vecteur de l’énergie ?
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Les nanocombustibles : un futur vecteur de l’énergie ?
Les nanocombustibles : un futur vecteur de l’énergie ?
Une équipe de recherche à l’université Queen
Mary de Londres souhaite déterminer si les nanocombustibles peuvent
devenir des vecteurs énergétiques viables dans le futur. Ce programme
dirigé par le Dr Dongsheng Wen et soutenu par Shell Research étudie la
combustion de nanoparticules métalliques comme le silicium, l’aluminium
et le fer. Ces éléments sont particulièrement intéressants et peuvent
être considérés comme renouvelables puisqu’ils sont abondamment
présents sur Terre. L’équipe de recherche examine actuellement la
combustion de ces nanocombustibles mouillés avec un combustible plus
conventionnel comme le gazole. Suivant les résultats, ils évalueront
ensuite la combustion des particules seules dites sèches.
Le principe de combustion de ces
nanoparticules est relativement simple : c’est une réaction d’oxydation
qui intervient entre l’oxygène et le métal. La chaleur générée par
cette réaction chimique peut ensuite être utilisée pour effectuer un
travail mécanique. Outre les paramètres de combustion, tels que la
pression, la température et le travail que cette réaction peut générer,
plusieurs interrogations quant aux émissions liées à la combustion de
ces nanocombustibles seront évaluées.
D’un point de vue environnemental, il sera
important de déterminer s’il est possible de capturer toutes les
particules métalliques émises. Bien qu’on s’affranchisse avec ces
nanocombustibles des problèmes d’émission de dioxyde de carbone, celle
du monoxyde d’azote est toujours à prendre en considération. En effet,
il est le produit de la réaction entre l’oxygène et l’azote de l’air
qui peut intervenir dans une chambre à combustion. Différents scenarii
de combustion devront donc être envisagés pour évaluer ces émissions.
BE
Une équipe de recherche à l’université Queen
Mary de Londres souhaite déterminer si les nanocombustibles peuvent
devenir des vecteurs énergétiques viables dans le futur. Ce programme
dirigé par le Dr Dongsheng Wen et soutenu par Shell Research étudie la
combustion de nanoparticules métalliques comme le silicium, l’aluminium
et le fer. Ces éléments sont particulièrement intéressants et peuvent
être considérés comme renouvelables puisqu’ils sont abondamment
présents sur Terre. L’équipe de recherche examine actuellement la
combustion de ces nanocombustibles mouillés avec un combustible plus
conventionnel comme le gazole. Suivant les résultats, ils évalueront
ensuite la combustion des particules seules dites sèches.
Le principe de combustion de ces
nanoparticules est relativement simple : c’est une réaction d’oxydation
qui intervient entre l’oxygène et le métal. La chaleur générée par
cette réaction chimique peut ensuite être utilisée pour effectuer un
travail mécanique. Outre les paramètres de combustion, tels que la
pression, la température et le travail que cette réaction peut générer,
plusieurs interrogations quant aux émissions liées à la combustion de
ces nanocombustibles seront évaluées.
D’un point de vue environnemental, il sera
important de déterminer s’il est possible de capturer toutes les
particules métalliques émises. Bien qu’on s’affranchisse avec ces
nanocombustibles des problèmes d’émission de dioxyde de carbone, celle
du monoxyde d’azote est toujours à prendre en considération. En effet,
il est le produit de la réaction entre l’oxygène et l’azote de l’air
qui peut intervenir dans une chambre à combustion. Différents scenarii
de combustion devront donc être envisagés pour évaluer ces émissions.
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