Signature de la première convention entre une collectivité locale et l’Etat, vers « l’énergie positive, une électricité 100 % renouvelable »
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Signature de la première convention entre une collectivité locale et l’Etat, vers « l’énergie positive, une électricité 100 % renouvelable »
Signature de la première convention entre une collectivité locale
et l’Etat, vers « l’énergie positive, une électricité 100 %
renouvelable »
Jean-Louis Borloo, ministre de l’Ecologie, a
signé une convention-cadre avec Perpignan et son agglomération pour en
faire « un exemple mondial » de production d’énergie renouvelable d’un
niveau supérieur à la consommation locale. La communauté
d’agglomération et la ville de Perpignan ont choisi de s’inscrire
pleinement dans la démarche du Grenelle Environnement afin d’aller vers
une "ville à énergie positive". L’objectif retenu est de couvrir, d’ici
2015, 100 % des besoins en électricité de la communauté d’agglomération
(200.000 habitants) à partir d’un bouquet d’énergies renouvelables
diversifiées. Cette mutation écologique s’engage autour de deux axes :
La
réduction des consommations d’énergie : la mise en place d’un programme
de rénovation des bâtiments existants : bilan carbone, diagnostic
énergétique, programme de rénovation, réduction de consommation... ;
les nouveaux bâtiments publics seront conçus et réalisés pour répondre
aux nouvelles normes énergétiques définies par le Grenelle : soit des
"bâtiments basse consommation" (50kWh/m2/an).
Le
développement d’énergies renouvelables avec la création d’une part de
trois centrales solaires sur 100 hectares, d’autre part, de la plus
grande surface en Europe de capteurs photovoltaïques sur les toits du
marché international Saint Charles : 70.000m2, produisant plus de
10MWh/an, soit une suppression de rejet de 3.000 t de CO2 par an. Le
projet prévoit aussi la création d’une zone de développement éolien
(ZDE) : un site d’une centaine d’hectares accueillera une quarantaine
d’éoliennes. Selon la ville, « ce programme représente un montant de
500 000 euros. Avec un temps de retour entre 7 et 10 ans ».
Parallèlement, l’ensemble de l’agglomération s’engage dans de nouveaux
plans de transports : nouveau plan de circulation, développement des
transports urbains, poursuite du plan vélo, aménagements mixtes, fret
ferroviaire et inter-modalité mais aussi à travers la préservation des
espaces et ressources naturelles et sensibles.
MI
et l’Etat, vers « l’énergie positive, une électricité 100 %
renouvelable »
Jean-Louis Borloo, ministre de l’Ecologie, a
signé une convention-cadre avec Perpignan et son agglomération pour en
faire « un exemple mondial » de production d’énergie renouvelable d’un
niveau supérieur à la consommation locale. La communauté
d’agglomération et la ville de Perpignan ont choisi de s’inscrire
pleinement dans la démarche du Grenelle Environnement afin d’aller vers
une "ville à énergie positive". L’objectif retenu est de couvrir, d’ici
2015, 100 % des besoins en électricité de la communauté d’agglomération
(200.000 habitants) à partir d’un bouquet d’énergies renouvelables
diversifiées. Cette mutation écologique s’engage autour de deux axes :
La
réduction des consommations d’énergie : la mise en place d’un programme
de rénovation des bâtiments existants : bilan carbone, diagnostic
énergétique, programme de rénovation, réduction de consommation... ;
les nouveaux bâtiments publics seront conçus et réalisés pour répondre
aux nouvelles normes énergétiques définies par le Grenelle : soit des
"bâtiments basse consommation" (50kWh/m2/an).
Le
développement d’énergies renouvelables avec la création d’une part de
trois centrales solaires sur 100 hectares, d’autre part, de la plus
grande surface en Europe de capteurs photovoltaïques sur les toits du
marché international Saint Charles : 70.000m2, produisant plus de
10MWh/an, soit une suppression de rejet de 3.000 t de CO2 par an. Le
projet prévoit aussi la création d’une zone de développement éolien
(ZDE) : un site d’une centaine d’hectares accueillera une quarantaine
d’éoliennes. Selon la ville, « ce programme représente un montant de
500 000 euros. Avec un temps de retour entre 7 et 10 ans ».
Parallèlement, l’ensemble de l’agglomération s’engage dans de nouveaux
plans de transports : nouveau plan de circulation, développement des
transports urbains, poursuite du plan vélo, aménagements mixtes, fret
ferroviaire et inter-modalité mais aussi à travers la préservation des
espaces et ressources naturelles et sensibles.
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