Réchauffement climatique : l’hypothèse cosmique réfutée
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Réchauffement climatique : l’hypothèse cosmique réfutée
Réchauffement climatique : l’hypothèse cosmique réfutée
Le lien entre les émissions de gaz à effet de
serre et le réchauffement planétaire est amplement démontré. Pourtant,
certains scientifiques « sceptiques » ont cherché d’autres coupables
potentiels ; c’est le cas de Henrik Svensmark, dont l’hypothèse d’un
réchauffement planétaire qui viendrait du cosmos vient d’être testée
par deux physiciens britanniques. Le scientifique danois Henrik
Svensmark a avancé l’hypothèse controversée voulant que le
réchauffement climatique ne soit pas lié à l’activité humaine, mais
plutôt à des variations dans le rayonnement cosmique reçu sur Terre,
c’est-à-dire un flux de particules chargées et d’énergie présent dans
tout l’univers.
Lorsque les vents solaires (constitués de
particules électriquement chargées) sont plus intenses, soutient Henrik
Svensmark, les rayons cosmiques seraient déviés et parviendraient à la
surface de la Terre, entraînant la formation d’une moindre quantité de
nuages. Toujours selon Henrik Svensmark, cette diminution des nuages
laisserait passer davantage d’énergie provenant du soleil et
réchaufferait ainsi la planète.
L’an dernier, la diffusion d’un documentaire
britannique (The Great Global Warming Swindle) présentant les thèses de
Svensmark avait fait sensation dans l’opinion publique. Deux physiciens
- Terry Sloan, de l’Université de Lancaster, et Arnold Wolfendale, de
l’université de Durham - se sont donc penchés sur l’hypothèse : « C’est
extrêmement important car, si les sceptiques ont raison, cela voudrait
dire que nous perdons notre temps à réduire les émissions de gaz à
effet de serre. »
Pour tester l’hypothèse de Svensmark sur
l’éventuel impact des rayons cosmiques, Sloan et Wolfendale ont examiné
la formation des nuages de basse altitude dans des zones dont on
connaissait le taux de rayonnement cosmique. Les physiciens n’ont pas
trouvé de lien significatif entre ces deux facteurs et concluent que le
rayonnement cosmique ne joue pas un rôle déterminant dans le
réchauffement climatique. « Nous n’avons pas trouvé le lien qu’on nous
proposait, ce qui signifie que nous avons raison de réduire les
émissions de carbone », conclut le physicien Terry Sloan.
IOP
Le lien entre les émissions de gaz à effet de
serre et le réchauffement planétaire est amplement démontré. Pourtant,
certains scientifiques « sceptiques » ont cherché d’autres coupables
potentiels ; c’est le cas de Henrik Svensmark, dont l’hypothèse d’un
réchauffement planétaire qui viendrait du cosmos vient d’être testée
par deux physiciens britanniques. Le scientifique danois Henrik
Svensmark a avancé l’hypothèse controversée voulant que le
réchauffement climatique ne soit pas lié à l’activité humaine, mais
plutôt à des variations dans le rayonnement cosmique reçu sur Terre,
c’est-à-dire un flux de particules chargées et d’énergie présent dans
tout l’univers.
Lorsque les vents solaires (constitués de
particules électriquement chargées) sont plus intenses, soutient Henrik
Svensmark, les rayons cosmiques seraient déviés et parviendraient à la
surface de la Terre, entraînant la formation d’une moindre quantité de
nuages. Toujours selon Henrik Svensmark, cette diminution des nuages
laisserait passer davantage d’énergie provenant du soleil et
réchaufferait ainsi la planète.
L’an dernier, la diffusion d’un documentaire
britannique (The Great Global Warming Swindle) présentant les thèses de
Svensmark avait fait sensation dans l’opinion publique. Deux physiciens
- Terry Sloan, de l’Université de Lancaster, et Arnold Wolfendale, de
l’université de Durham - se sont donc penchés sur l’hypothèse : « C’est
extrêmement important car, si les sceptiques ont raison, cela voudrait
dire que nous perdons notre temps à réduire les émissions de gaz à
effet de serre. »
Pour tester l’hypothèse de Svensmark sur
l’éventuel impact des rayons cosmiques, Sloan et Wolfendale ont examiné
la formation des nuages de basse altitude dans des zones dont on
connaissait le taux de rayonnement cosmique. Les physiciens n’ont pas
trouvé de lien significatif entre ces deux facteurs et concluent que le
rayonnement cosmique ne joue pas un rôle déterminant dans le
réchauffement climatique. « Nous n’avons pas trouvé le lien qu’on nous
proposait, ce qui signifie que nous avons raison de réduire les
émissions de carbone », conclut le physicien Terry Sloan.
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