Réchauffement climatique : la maîtrise de la séquestration d
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Réchauffement climatique : la maîtrise de la séquestration d
Réchauffement climatique : la maîtrise de la séquestration du Carbone devient un enjeu techno-industriel majeur
La Grande Bretagne est la pionnière du stockage de gaz carbonique et vient de procéder à un appel d’offres pour la mise en oeuvre de cette technologie. La Grande-Bretagne pourrait accueillir la toute première usine au monde de démonstration en grandeur nature de la capture et de la séquestration de carbone. Cette technologie a le potentiel énorme de permettre de répondre aux besoins en énergie tout en diminuant les émissions polluantes. Elle ouvre d’immenses possibilités pour la Grande-Bretagne mais aussi pour le monde.
Cela représente une toute nouvelle technologie pour les centrales électriques et cela n’a encore jamais été fait à échelle commerciale. La Grande-Bretagne est bien placée : les gisements de pétrole et de gaz épuisés de la Mer du Nord peuvent être utilisés pour le stockage et le pays a un savoir-faire de premier plan en matière de techniques géologiques. Le gaz et le charbon sont importants pour le panachage de l’énergie au niveau mondial et en Grande-Bretagne.
Le rapport Stern indique que, même en travaillant sur les énergies renouvelables et autres technologies propres, les combustibles fossiles compteront encore d’ici à 2050 pour environ la moitié des approvisionnements en énergie dans le monde. La capture et de la séquestration du carbone a le potentiel de réduire de 90 % les émissions de CO2 des centrales électriques à combustibles fossiles et de contribuer à hauteur de 20 % à la diminution des émissions d’ici à 2050.
Le déploiement rapide de la capture et de la séquestration du carbone dans les pays émergents tels que la Chine et l’Inde sera vital. La Grande-Bretagne a été pour beaucoup dans la modification, en novembre 2006, du protocole de Londres qui permet de stocker du CO2 légalement dans l’environnement marin. La Grande-Bretagne et la Norvège travaillent à la mise au point d’un régime réglementaire de stockage en Mer du Nord et étudient la possibilité d’une infrastructure commune sur le fond des mers. La Grande-Bretagne souhaite que la technologie soit reconnue dans le cadre du système européen d’échanges de quotas d’émissions et soutient son inscription dans le mécanisme de développement propre de la Convention-cadre de l’ONU sur le changement climatique.
La Grande-Bretagne est à la tête de l’initiative européenne de centrales à charbon propres et participe au développement de démonstrations de la capture et de la séquestration du carbone en Chine. D’après le rapport Stern, la capture et de la séquestration du carbone peut contribuer à hauteur de 20 % aux réductions mondiales de CO2 d’ici à 2050.
http://www.co2capture.org.uk/
La Grande Bretagne est la pionnière du stockage de gaz carbonique et vient de procéder à un appel d’offres pour la mise en oeuvre de cette technologie. La Grande-Bretagne pourrait accueillir la toute première usine au monde de démonstration en grandeur nature de la capture et de la séquestration de carbone. Cette technologie a le potentiel énorme de permettre de répondre aux besoins en énergie tout en diminuant les émissions polluantes. Elle ouvre d’immenses possibilités pour la Grande-Bretagne mais aussi pour le monde.
Cela représente une toute nouvelle technologie pour les centrales électriques et cela n’a encore jamais été fait à échelle commerciale. La Grande-Bretagne est bien placée : les gisements de pétrole et de gaz épuisés de la Mer du Nord peuvent être utilisés pour le stockage et le pays a un savoir-faire de premier plan en matière de techniques géologiques. Le gaz et le charbon sont importants pour le panachage de l’énergie au niveau mondial et en Grande-Bretagne.
Le rapport Stern indique que, même en travaillant sur les énergies renouvelables et autres technologies propres, les combustibles fossiles compteront encore d’ici à 2050 pour environ la moitié des approvisionnements en énergie dans le monde. La capture et de la séquestration du carbone a le potentiel de réduire de 90 % les émissions de CO2 des centrales électriques à combustibles fossiles et de contribuer à hauteur de 20 % à la diminution des émissions d’ici à 2050.
Le déploiement rapide de la capture et de la séquestration du carbone dans les pays émergents tels que la Chine et l’Inde sera vital. La Grande-Bretagne a été pour beaucoup dans la modification, en novembre 2006, du protocole de Londres qui permet de stocker du CO2 légalement dans l’environnement marin. La Grande-Bretagne et la Norvège travaillent à la mise au point d’un régime réglementaire de stockage en Mer du Nord et étudient la possibilité d’une infrastructure commune sur le fond des mers. La Grande-Bretagne souhaite que la technologie soit reconnue dans le cadre du système européen d’échanges de quotas d’émissions et soutient son inscription dans le mécanisme de développement propre de la Convention-cadre de l’ONU sur le changement climatique.
La Grande-Bretagne est à la tête de l’initiative européenne de centrales à charbon propres et participe au développement de démonstrations de la capture et de la séquestration du carbone en Chine. D’après le rapport Stern, la capture et de la séquestration du carbone peut contribuer à hauteur de 20 % aux réductions mondiales de CO2 d’ici à 2050.
http://www.co2capture.org.uk/
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